Manger quand vous n’avez pas faim: les principales causes et 10 trucs pour vous aider à y mettre un terme.
9 octobre 2014
Manger quand vous n’avez pas faim: les principales causes et 10 trucs pour vous aider à y mettre un terme.
Les émotions
Il est bien connu que les émotions peuvent nous faire avaler quantité de nourriture non essentielle. C’est comme si on comblait un vide ou comme si on voulait ressentir une émotion positive au milieu du tourment.
En effet, manger procure du plaisir. Même s’il ne dure pas longtemps, il nous fait du bien. Parfois, cela nous rappelle des moments agréables, comme notre enfance, lorsque notre mère nous préparait notre repas préféré.
La nourriture devient donc synonyme de récompense, de réconfort et de remontant. C’est un peu comme une drogue, en moins puissante.
L’ennui
Qui ne grignote pas de temps en temps en regardant la télévision? En fait, c’est presque un réflexe, comme si être assis à ne rien faire nous angoissait. Même chose lorsque nous naviguons sans but sur internet, que nous sommes assis dans le train, que nous attendons l’autobus, que nous écoutons une conférence monotone... Toutes ces situations nous amènent à manger.
La pression sociale
Nous mangeons parce que les autres mangent. On regarde quelqu’un manger et on se dit que cela a l’air vraiment bon, puis on se rappelle le plaisir que nous ressentons lorsque nous mangeons cette délicieuse pâtisserie ou ce délectable fromage! Alors, pourquoi se priverait-on?
Il est très difficile de dire non à la tentation pour écouter sa véritable faim, celle qui est physiologique, et non psychologique.
Les solutions ne manquent pas, c’est plutôt la volonté, la motivation et la persévérance qui font souvent défaut. Voici de quoi vous aider:
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